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Lundi 28 janvier 1 28 /01 /Jan 21:43
                                                                                                            










Elle sentait chez lui cette assurance.
Comme une force, une puissance,
Cette présence troublait sa conscience…
Lui appartenir complètement.
Lui appartenir totalement !

Derrière son dos, tendre, il lui plaça les mains.
Son ventre, si chaud, devint liquide soudain
Un foulard de soie sur les yeux. Excitation !
Et ce désir fou de vouloir aller plus loin.
Sa mise à nue ! Rapide fût sans précaution !

Elle sentit ses doigts sur la pointe de ses seins.
Et sa volonté douloureuse s’imposait.
Obéissante, à genoux ! Elle attendait.

Incontrôlée…

La folie des sens, des mots et de ses désirs
Attendait qu’il décide pour elle. A jamais !
Et elle entrouvrit ses lèvres pour l’accueillir !

Pour engloutir sa chaleur et sa puissance
Sa main sur sa nuque imposa la cadence.

Et le recevoir. Et être à lui désormais…
Dans un doux murmure il lui a déclaré

« Tu es venue à moi, je ne t’attendais plus.
Oh présence. Et soudain  je t’ai reconnue.
Tu m’avais compris. Alors que je l’ignorai.
Tu m’avais deviné ! Tu savais qui j’étais.
Être! Ton regard indiquait ta volonté.
Être, totalement. Être, tout simplement. »

Soumission, dire, appartenir, souffrir, offrir!
Et des larmes comme des perles. Offertes à l’amant.

  « Tu voulais les donner. Tu voulais te donner. 
Tu voulais choisir aussi. Et tu m’as choisi. 
J’ai posé ma main sur ta nuque. Mis le collier ! 
J’ai attaché la chaîne et je t’ai emmené. 
Soumise. Ma douce, sur la croix de Saint André. »

 

Gérard Brazon
Sur de superbes photos d'auteurs inconnus
Le "don de soi" Une "forme d'amour"
Par P.L.E.C.S. - Publié dans : Poèmes - Communauté : Soumission et appartenance
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Dimanche 3 février 7 03 /02 /Fév 22:16

 

 

 

Digues et tabous érigés par les bien-pensants, la sexualité des bipèdes est morne et insipide...
Sauf dans certains milieux , comme le monde du SM...

   Moi je navigue en eaux troubles, mais pas assez encore à mon goût...
    Le capitaine du navire de mes rêves est un Maître à l'imagination sans fin
     Il me transportera là où je n'ai pied, là où tout est un peu flou...

    Sa perversion, sa tendresse, son amour, me lient irrémédiablement à lui.
     Sa voix me chuchotant ses envies, ses délirs m'attachent, il est mon incube,
      Chienne rampante, instrument de son plaisir, je suis son succube.

      IIl m'attire, me pousse vers des rivages que peu imagine,
       Il explore les moindres recoins de nos contrées en friche,
        Aventurier et à l'âme rebelle, plus jamais grise mine.

        Offrir à sa main ferme ma croupe gourmande, garder la trace en moi
         Communier, mélanger nos folies et plonger sans fin, faire naître les râles
          Espérer ses caresses, ses doux baisers pensant  les plaies, il est mon roi.

          Oser l'inavouable, fusion sans concession, il sait extraire l'animal
           Découvreur de mes pensées impures, je suis sa femelle, il est le mâle,
            Enfouir à tout jamais les doutes, la vertue, renaître ensemble entre deux cris...

            Sécher les larmes qu'il a faites couler, faire sombrer les derniers tabous,
             Regards qui se cherchent, langues qui se mêlent et voilà qui naît un nous...
              Souffles saccadés, cris et gémissements pareils au vent hurlant, je suis à genoux.

Il est moi, je suis Lui, indissociables car uniques, besoin l'un de l'autre, pour rayonner.

Ta ...

 

 

Par P.L.E.C.S. - Publié dans : Poèmes
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Jeudi 7 février 4 07 /02 /Fév 00:49

 

 




Vous offrir 
toutes mes envies
Vous offrir 
tous mes chemins

M'offir 
à toutes Vos envies
Vous suivre
sur tous Vos chemins

Vous sentir
m'investir
Sentir
la force de Vos désirs

Partir
 au-delà du plaisir
Partir
ne pas me retenir

Chavirer 
sous la caresse du fouet
Laisser 
mes larmes couler


Par P.L.E.C.S. - Publié dans : Poèmes
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Vendredi 8 février 5 08 /02 /Fév 00:21

 

 

Véritable appel à la provocation...

Oui, le provoquer, car par ce regard,

Il sous-estime ma valeur de soumise

Voir que je le satisfait me comble,

mais cela me pousse à descendre encore plus bas,

pour voir un jour sur son visage,

non plus de l'étonnement,

mais de l'admiration.

Admiration pour son esclave. Limite extrême.

Ce sera cette limite que je vais tenter de rejoindre.

Je sais déjà être un objet précieux à ses yeux.

Et c'est de là que je vais puiser ma force.

Pour aller dans l'innommable.

Pénétrer dans l'impensable.

Pour me donner entièrement, totalement soumise.

Mon plaisir est qu’il jouisse au travers de ma dépendance

et je lui offre cette souffrance de toute mon âme.

Uniquement pour sa jouissance.

Un fil invisible se crée.

Qui me lie à lui, entièrement.

Je suis sa soumise. Je suis son esclave.

Désormais mon corps et mon âme

lui appartiennent.

 

 

Par P.L.E.C.S. - Publié dans : Poèmes
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Dimanche 9 mars 7 09 /03 /Mars 20:34


Il serre ses poignets, elle se démène.
Il serre ses poignets, elle est forte.
Serre et tire ! Elle tire et il serre
Dans une lutte odorante
De sexes humides.
 
Et le désir :
Un fleuve ardent, un fleuve en crue, 
Eau qui brûle et feu qui apaise.
Et le temps qui s’arrête et se contracte
Comme cent jours qui fileraient
En une poignée de minutes.
 
Flashback : ses mains sur le mur
Son corps nu
Tes mains sur elle.
Maintenant : ses mains liées
Son corps tendu
Tes doigts en elle.
 
Flashback : des lèvres gonflées
Qui se cherchent
Salive, baiser.
Maintenant : ses lèvres ouvertes
Que tu cherches
Pour y pénétrer.
 
Flashback : l’amour, un sourire heureux
Maintenant : l’amour, un sourire radieux.

Par P.L.E.C.S. - Publié dans : Poèmes
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Dimanche 9 mars 7 09 /03 /Mars 21:21




Je me sens si petite
Si démunie
Je me sens si fragile
Je me sens tellement
Je me sens si
 
Suspendue à un fil
Au-dessus de la vie
Un peu comme en orbite
Autour de mon aimant
Là où j’ai fait mon nid
 
J’ai des seins prisonniers
Des mains liées
Je suis une poupée
Que Tu peux habiller
Que Tu peux dénuder
Selon ta volonté
 
Je me plie, je m’obstine
A me vouloir muette
Tu me lies , je m’incline
Sans remuer la tête
Objet que l’on câline
Souveraine et sujette
 
Car je suis tellement
Car je suis si
Sans Toi Maître et Amant
Je me renie
J’ai besoin de ce temps
Qui nous unit

Besoin que Tu sois comme
Besoin que Tu sois tant
Que Tu aies ces mains d’homme
Pour m’y tenir dedans
Libre mais prisonnière
Eternelle éphémère
 
Besoin que Tes épaules
Soient carrées et moelleuses
Quand Ta chatte qui miaule
Y vient en duveteuse
Pour que Tu la consoles
Et puis la rendes heureuse
 
Entre ces liens de nuit
Enserrant son envie
Sans gémir sans un cri
Ta féline se tend
Elle se sent tellement
Elle se sent si

Par P.L.E.C.S. - Publié dans : Poèmes
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Lundi 24 mars 1 24 /03 /Mars 20:36


LE CLITORIS


Blotti sous la tiédeur des nymphes repliées
Comme un pistil de chair dans un lys douloureux
Le Clioris, corail vivant, coeur ténébreux,
Frémit au souvenir des bouches oubliées.

Toute la Femme vibre et se concentre en lui,
C'est la source du rut sous les doigts de la vierge
C'est le pôle éternel où le plaisir converge
Le paradis du spasme et le Coeur de la nuit.

Ce qu'il murmure aux flancs, toutes les chairs l'entendent
A ses moindres frissons les mamaelles se tendent,
Et ses battements sourds mettent le corps en feu.

Ô Clitoris, rubis mystérieux qui bouge,
Luisant comme un bijou sur le torse d'un dieu,
Dresse-toi, noir de sang, devant les bouches rouges.

Pierre LOUYS
(extrait de LA FEMME)

Par P.L.E.C.S. - Publié dans : Poèmes
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Lundi 24 mars 1 24 /03 /Mars 21:08

TRIANGLE NOIR


TOUT DISPARAIT QUAND PARAIT LE TRI
ANGLE NOIR LE TRIANGLE LYRIQUE
LE TRIANGLE CENTRAL CHANTE
ÉPERDUMENT LA DRESSÉE
DU MAÎTRE ET LE TRIAN
GLE NOIR AVEUGLE LE
DÉSIR QUI LE REGAR
DE... MAIS LE TRI
ANGLE NOIR EST
  UN DÉSIR 
  SANS 
  MA 
IN 
...



Pierre Albert BIROT


 

Par P.L.E.C.S. - Publié dans : Poèmes
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Mercredi 26 mars 3 26 /03 /Mars 21:36
Renverse-Toi que je prenne ta bouche
Calice ouvert, rouge possession,
Et que ma langue où vit ma passion,
Entre tes dents s'insinue et te touche.


C'est une humide et molle profondeur,
Douce à mourir, où je me perds et glisse ;
Cest un abîme intime, clos et lisse,
Où mon désir s'enfonce jusqu'au coeur...

Ah ! puisse aussi t'atteindre au plus sensible,       
Dans son ampleur et son savant détail,
Ce lent baiser, seule etreinte possible,
Fait de silence et de tiède corail ;


Puissé-je voir enfin tomber ta tête,
Vaincue, à bout de sensualité,
Et détournant mes lèvres, te quitter,
Laissant au moins ta bouche satisfaite !


Lucie DELARUE MARDRUS
Par P.L.E.C.S. - Publié dans : Poèmes
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Dimanche 30 mars 7 30 /03 /Mars 20:54

EPITHALAME

Tes mains introduiront mon beau membre asinin
Dans le sacré bordel ouvert entre tes cuisses
Et je veux l'avouer, en dépit d'Avinain,
Que me fait ton amour pourvu que tu jouisses ?

Ma bouche à tes seins blancs comme de petits suisses
Fera l'honneur abject des suçons sans venin.
De ma mentule mâle en ton con féminin
Le sperme tombera comme l'or dans les sluices

O ma tendre putain ! tes fesses ont vaincu
De tous les fruits pulpeux le savoureux mystère,
L'humble rotondité sans sexe de la terre.

La lune chaque mois, si vaine de ton cul,
Et de tes yeux jaillit, même quand tu les voiles,
Cette obscure clarté qui tombe les étoiles.

Guillaume APOLLINAIRE


 

 

Par P.L.E.C.S. - Publié dans : Poèmes - Communauté : plaisirs SM
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